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L’Humain, capable du pire comme du meilleur…

Ne serions-nous pas en pleine réflexion métaphysique sur la nature humaine…, le paradoxe du bien et du mal…

Quoi qu’il en soit et même si le sujet peut rester tabou pour beaucoup, l’actualité quotidienne chargée de ses violences, de ses atrocités, de ses injustices…nous montre à quel point l’être humain est puissant, volontaire, implacable, déterminé, dès lors qu’il se rassemble et unit sa puissance, sa volonté, sa détermination à celles des autres. Il peut détruire, anéantir, laminer n’importe qui et n’importe quoi, quitte à se mettre en danger lui-même, et ce faisant, à s’anéantir lui-même.

L’actualité est impressionnante mais n’a malheureusement rien de très novateur. Les conflits, les guerres, les révolutions, les insurrections se sont succédées au fil des décennies, des siècles, des millénaires, d’un bout de la planète à l’autre.

Que dirait le « Petit Prince » d’Antoine de Saint-Exupéry s’il regardait aujourd’hui notre planète et le comportement de ses habitants ? Son discours serait-il différent lorsqu’il évoque le « Vaniteux », le « Roi », le « Buveur » « l’Allumeur de réverbères » ??  Détruire sa planète, la souiller puis aller conquérir une autre planète tel un enfant qui casse son jouet et en attend un autre, fait-il sens ?

Paradoxalement, tout autant qu’il propage la violence et la haine, l’humain fait preuve de bienveillance, de dévouement, de compassion, d’empathie, de générosité et d’amour.

A l’origine de ces comportements extrêmes, le même fléau, la souffrance. La souffrance pousse l’humain à l’inimaginable tout en lui permettant de soulever des montagnes. Même si là encore, le sujet est tabou, l’explosion des outils de développement personnel et de leurs pratiques permettant l’allègement des souffrances, témoignent de la volonté et de l’urgence à ne plus souffrir.

Pour que notre planète tourne dans le bon sens et pour qu’elle ait une chance d’être sauvée, le bien-être de l'individu est indispensable, mais au-delà de la matière, au-delà des biens, des profits et de l’avidité. La "QVT" n'est pas que palpable, elle ne se compte pas, ne se voit pas toujours car elle fait appel à la "face cachée du capital humain".

Hommage donc à toutes et à tous ceux qui œuvrent inlassablement à soulager les maux de toutes natures et à les prévenir. Hommage notamment aux coachs dont le nom est « galvaudé », utilisé à tort et à travers, le métier mal connu et parfois détourné de sa vraie nature alors que la fonction est parfaitement cadrée et légiférée. Le Coaching est une discipline transversale des sciences humaines permettant à n’importe quel individu ou n’importe quelle organisation de trouver ses propres solutions.

Comme pour tout changement, la période de fusion-acquisition est une période de souffrance, de questionnement, d’émotions extrêmement négatives. Peur, colère, frustration, tristesse se succèdent et sont à l’origine de fortes résistances au changement, de nombreux RPS dont les conséquences sont à la source de bon nombre d’échecs. Il n’est pas commun d’instaurer un process de coaching en période de fusion-acquisition mais rappelons que le facteur humain reste le facteur numéro 1 à l’origine des échecs. Là aussi, et parce que « l’humain est capable du pire comme du meilleur », le coaching devient une nécessité absolue.